Il y a exactement 6,5 ans je vivais à Londres, et je travaillais alors dans une agence web à taille humaine dans Soho. Très difficile d’en partir, mais d’autres aventures m’attendaient à Paris… C’est alors qu’en guise de pot de départ, mon manager avait réservé une table au célébre club de Jazz : le Ronnie Scott’s !
Je vais faire très court : vous devez y aller si vous êtes à Londres !

 

J’en gardais un excellent souvenir et la dernière fois où j’étais de passage à Londres, en août 2011, je n’avais pas pris le temps de réserver, c’est alors que forcément je me suis vue refuser l’entrée. Pour me consoler j’ai eu droit de prendre un verre dans le bar du même club, mais complètement différent, même si vous devez quand même regarder la programmation, moins cher à l’entrée (environ 8£ par personne) mais des sessions jam très sympa !

Tout ce passe sur le site Internet du jazz club pour réserver : www.ronniescotts.co.uk

Donc cette fois-ci, pas question de ne pas être organisée, cela me tenais à coeur de revivre cette expérience ! J’ai donc réservé ma place au Ronnie Scott’s pour la représentation de Boubacar Traoré dont vous pouvez écouter le titre suivant (et d’autres) :

Avec lui, j’ai découvert et carrément aimé le blues africain… un moment de pur délice.

Arrivée à 19h, j’avais également réservé une table pour y dîner, ce qui m’a valu la même table que 6,5 ans auparavant, c’est-à-dire la première devant la scène… c’est presque à croire que je pouvais monter sur scène à tout moment ^^
Dîner sur place n’est pas forcément très onéreux, et on y mange très bien. A noter, une très bonne carte de vins du monde qui ajoute un petit plaisir supplémentaire à celui d’écouter de la bonne musique.

Oooh, rien que de vous en parler, j’en ai encore des frissons…

Je vous conseille Roy Ayers les 13-14-16- 18 août 2012, pour les personnes qui ont la chance de vivre sur place… sinon j’ai envie de dire, n’importe quelle date, tous les artistes qui y passent sont excellents !

Sur place, les photos sont interdites… Alors je me suis contentée de l’extérieur :

Ronnie Scott's London